En quelques images et en trois petits films pris sur le vif, on vous livre l’ambiance de ces trois jours passés à Omnivore en septembre 2024. Au coeur du Parc Floral de Paris, l’événement poursuit dans sa ligne. Incontestablement, Sirha Omnivore Paris garde son ADN de « scène de la Jeune Cuisine ». Pour cette édition 2024, du 8 au 10 septembre au Parc Floral de Paris, nous avons eu les pointures qui ne cessent de se réinventer et sont dans une réflexion constante, mais aussi des chefs moins connus et tout aussi captivants. Partenaire média d’Omnivore, Le Cœur y était : On vous raconte.
Quelques temps forts
Les images légendées des trois jours de Sirha Omnivore Paris 2024, vus par Le Coeur des Chefs
Les films : pour ne garder qu’une minute 30 par jour, il faut travailler la synthèse !
Jour 1 :
Une journée à @sirha_omnivore , c’est : les figues pochées de la team @datil.restaurant de @manonfleury__ , les bières de @bierbuik.florentladeyn , un cocktail au café avec @philippeurraca et @victor_delpierre , un millefeuille de maquereaux d’aubergines et pistaches de @katsuakiokiyama , @marievictorinemanoa nous fait goûter les testicules de cerf poché dans un lait d’amande aux algues, (et oui, ça ressemble un peu à une texture de boudin blanc en un peu plus ferme), @mory_sacko_ enrichit la pepper soup de 10 piments différents, @adelinegrattard nous montre les pliages de wonton et les élèves de @ecole_ducasse œuvrent en coulisse. Mais aussi des demos de pâtisserie, la réflexion avec les chefs sollicités par les marques et le sujet des menus-enfants au restaurant avec @ecolecomestible .
On termine avec @glennviel et Jean-André Charial en conversation interactive avec le public. Et là, on rentre se coucher. Et demain ? On recommence.
Jour 2 : c’est la course…
@david_gallienne prépare son service, @steflequellec nous plonge dans l’iode de sa cassolette de coquillages, (« je voulais que mes clients aient l’impression d’être des pêcheurs à pied ! »), Jean-Baptiste Klein @riesling24 nous parle des vins d’Alsace et de son dialogue avec @oliviernasti_chambard , @sebastien_tantot nous emmène dans les transparences et les reflets des lumières d’automne, @alexandremazzia et @david_toutain se retrouvent dans la cuisine puis se suivent sur scène : Alexandre nous convertit aux « jus-sauces » et David nous fait une verticale de cèpes. On a poursuivi la réflexion avec les restaurants qui créent des expériences uniques, et ceux qui rassurent avec une bonne tête de veau et un chou farci. Et pendant ce temps, @chefsimonezanoni a enrobé ses pâtes dans la meule de parmiggiano.
Et enfin, @annesophiepic nous raconte le cheminement d’un plat : les différentes évolutions de la tomate, jusqu’à cette dernière quête, celui de la tomate amère. Elle partage ses longs essais avec Baptiste, jusqu’à cette eau de tomate, légèrement gélifiée et qui monte au batteur comme une meringue, puis qui est flambée sur une tomate à la fois croustillante et coulante.
Et demain ? Ah ben oui, il y a encore toute une journée !
Jour 3 : D’une cuisine à l’autre
Un film du Cœur des Chefs commence dans une cuisine et finit dans une cuisine… On démarre ce troisième jour d’Omnivore avec l’équipe de @florentpietravalle , @la_mirande à Avignon, qui est sur le point d’envoyer ses 40 couverts. Et, sans le faire exprès mais ça tombe assez bien, on finit par la daube avignonnaise de @jeanfrancoispiege : agneau et vin blanc, (dans une daubière s’il vous plaît) : ça goûte, ça assaisonne et ça partage.Entre les deux on écoute @nadiasammut et @frederic.bau qui racontent leur cuisine avec sens et pas « sans », Bénédicte nous montre la veste sur-mesure qu’ @angelomusaofficial a demandé à @erneste_1947 , @cyrilattrazic nous décrit son Aubrac et invente un « thon sur ton », véritable chimère entre boeuf et thon, @florentladeyn , nous annonce « Crevette », son prochain lieu de cuisine de la mer et l’illustre par les coques ouvertes à la bière de @bierbuik.florentladeyn .
Et puis ce soir, on rentre. Et @sirha_omnivore ferme boutique. Si vous n’étiez pas avec nous, j’espère que nos images vous ont permis d’être un peu là quand même !